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Manier les normes sans normativité : quelle position pour les psychologues ?
Entre commande sociétale et injonction institutionnelle, les psychologues font face à de nombreuses demandes d’évaluation. Quelle place est laissée à la personne reçue, à ce qu’elle dit, à ce qu’elle tait ? Les questionnements autour de l’évaluation et de la psychométrie sont déjà anciens. On s’interroge ici sur leur actualisation dans le contexte de la pression évaluative et de la multiplication des outils, notamment dans le champ de la neuropsychologie.
Psychologie de la santé et cancérologie. L’apport de la recherche pour une meilleure prise en charge
La psychologie de la santé appliquée au domaine de la cancérologie s’est considérablement développée ces dernières années, afin de permettre une compréhension plus juste des situations de terrain vécues par les patients traités pour un cancer, mais aussi par les proches qui les accompagnent ou encore par les soignants qui font le choix de pratiquer en cancérologie. C’est à ces trois populations d’étude que cet article se propose de donner illustration.
Pratiques et interventions en psychologie de la santé
Depuis une vingtaine d’années, la psychologie de la santé s’est imposée comme un cadre théorique et méthodologique particulièrement riche pour guider praticiens et chercheurs dans leurs interventions dans le domaine de la santé. Des actions ont été proposées aux psychologues, aux associations, aux usagers, aux services hospitaliers, pour améliorer les conduites de santé ou potentialiser le changement et l’adaptation chez les personnes malades. Présentation de ces différents modes d’intervention dont le but est d’apporter des réponses concrètes aux malades.
La psychologie de la santé au service de la prévention
Quels sont la spécificité et l’apport des compétences du psychologue dans le champ de la prévention des maladies et de la promotion de la santé ?
Pour nous aider à mieux cerner ce champ d’exercice, les auteurs nous livrent quelques principes essentiels à une démarche interventionnelle basée sur des données probantes et une analyse processuelle des comportements.
Les enjeux de la recherche en psychologie de la santé
Les enjeux de la recherche en psychologie de la santé ont évolué ces dernières années, mais tous visent une amélioration ou le maintien du bien-être des patients. Les auteurs en présentent les six grands axes dans lesquels coexistent à la fois recherche fondamentale et recherche appliquée qui seront ici explorées à travers différentes méthodes et techniques.
Les formations universitaires françaises en psychologie de la santé : état des lieux et bilan prospectif
Depuis le début des années 2000, les facultés de psychologie ont vu l’apparition de formations en psychologie de la santé. À partir d’une présentation de l’historique de cette discipline, cet article propose d’en décrire et présenter les concepts et approches, ainsi que les compétences spécifiques auxquelles sont formés les psychologues de la santé et leurs champs d’insertion sur le plan professionnel.
Deux voyages en mer agitée
es vagues de la mer Atlantique ont cette particularité de nous envelopper, de nous faire ressentir les variations discontinues du courant et de son ressac, quitte à parfois nous jeter à terre.
L’orientation bafouée
Il semblait acquis, surtout dans une société qui se veut libérale, que le choix d’une orientation scolaire ou professionnelle dépendait directement de la personne concernée. C’est elle, et non plus un pouvoir extérieur – parents, administration militaire ou civile, école, société et même niveau de vie –, qui doit décider de l’avenir des enfants et des jeunes.
La vie en suspens
La psychanalyse permet au patient (et à l’analyste, nous oublions souvent de rappeler le bien que l’analyse fait à l’analyste…), de voyager sur place, de regarder d’autres paysages.
À l’écoute du « cerveau d’en bas »
L’explication de toutes les pathologies humaines par une seule cause est souvent réductrice. Après le « tout hormonal », le « tout génétique », le « tout neuronal central », il semble que l’on soit aujourd’hui confronté à un « tout intestinal » : n’importe quel problème psychique d’un être humain aurait sa source dans les dysfonctionnements de son appareil digestif. Un nouveau monisme causal qui doit être questionné, notamment par les psychologues.