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La psychologie positive appliquée au travail
Située dans l’interstice entre la psychologie et le monde du travail, la psychologie positive appliquée au travail vise le développement du bien-être au travail, en permettant au salarié, au management ou aux équipes, d’identifier et de développer leurs ressources intérieures, afin de pouvoir notamment dépasser des situations déstabilisantes ou de stress. Présentation des concepts phares qui guident cette discipline.
Accompagner vers un plus haut niveau de bien-être subjectif : oui, mais comment ?
Sur quelles bases concevoir ses interventions face à la demande d’un patient qui souhaite améliorer son bien-être ? S’appuyant sur le modèle théorique de la régulation des émotions, Fanny Weytens propose ici une classification des différents outils de psychologie positive qui peuvent s’avérer pertinents dans ce type d’accompagnement. La présentation d’un répertoire des stratégies et des pistes d’intervention explorées avec un patient viendra éclairer le propos.
La psychologie positive : changement de paradigme ou nouvelle psychologie
Si la psychologie positive est en progression en France, elle n’est pas un courant dominant pour autant. Expliquer sa naissance, ses caractéristiques théoriques et les récentes modifications qui l’on conduite à la « deuxième vague », permet de souligner son adaptabilité. À partir du modèle des forces de caractère et de sa théorie, la présentation de quelques applications possibles invite à passer de la théorie à la pratique…
La psychologie positive : de nouvelles pistes pour la prévention et l’accompagnement
La psychologie positive est un champ de recherche récent faisant souvent l’objet de simplifications qui ne lui rendent pas justice. Cet article illustre le potentiel d’un certain nombre de thèmes issus de la psychologie positive, ainsi que leurs applications concrètes pour la pratique. Qu’il s’agisse de l’utilisation optimale des ressources intérieures, de l’attention au moment présent, des effets bénéfiques des émotions positives sur la santé mentale… les différents aspects abordés témoignent de la richesse et de la flexibilité de cette nouvelle discipline.
Sonder les sondages. Quand peut-on s’y fier ?
emballement pour les son- dages s’accentue à chaque période électorale, même si la déconvenue de plusieurs d’entre eux a rappelé les instituts à plus de prudence dans les annonces. La difficulté vient des attentes inconsidérées à leur égard. Ils visent à décrire une situation d’ensemble à un moment précis, à partir d’un nombre limité de données, selon une approche probabiliste, et on leur demande de prédire l’avenir, tel un oracle antique, tout en s’appuyant sur le même mode de raisonnement.
Vers une école régulante ?
Débats, controverses, polémiques et prises de position ont ponctué la dernière rentrée scolaire et se poursuivent autour de questions relatives à la répétition de l’échec et à son enlisement, comme si l’accès à la réussite s’avérait impossible. Pourtant, que représenterait une école « régulante » dans laquelle objectifs, modalités et méthodes permettraient de penser autrement les tenants et les aboutissants de l’échec et de la réussite ? Comment se dégager de cette impasse ? Beaucoup de mesures vont déjà dans ce sens, et il n’est pas inutile de les formaliser par des analyses et des propositions. Une approche sous l’angle psychodynamique pourrait se qualifier en termes de « régulation » à la fois comme prise en considération de règles (se donner des règles, les suivre) et recherche d’un équilibre (accéder à la régularité dans les conduites et comportements de la vie quotidienne à l’école). Réguler signe alors un état et un mouvement. D’où l’utilisation de l’expression « école régulante », conduisant à une véritable harmonie fonctionnelle débouchant sur une meilleure compréhension de la scène pédagogique et, par là, à une pratique plus éclairée.
La Terre tourne trop
Sigmund Freud confia dans une lettre à Paul Federn, en 1924 : « Vous n’ignorez pas à quel point la quantité aussi importe en matière de sentiments ; une analyse qualitative à elle seule ne mène nulle part. »
Les peaux d’un tableau, dans les yeux de Freud
En analysant les oublis de noms propres, Sigmund Freud a ouvert une réflexion autour des images susceptibles de remplacer une élaboration verbale, relative à un souvenir. Les images offrent un moyen d’échapper aux mots, en utilisant une forme plus primitive de communication. Cette approche met en lumière les associations qu’un sujet est en mesure de produire à partir des signifiants d’une image.
La relation aidant-aidé et ses avatars
Alors que la durée de vie de patients présentant des pathologies chroniques lourdes s’allonge, le maintien à domicile de ces derniers est, en même temps, encouragé. Ces situations très complexes en matière de relation aidant-aidé demeurent impensées socialement. Des initiatives telles que le Café des aidants peuvent permettre de combler cette lacune.
Les médiations numériques et la pratique clinique
L’essor des technologies et de la robotique interroge, chaque jour, la clinique. Selon Frédéric Tordo, l’objet numérique s’apparente à un dispositif analytique susceptible de fournir au thérapeute de nouveaux espaces de traitement. Il offre au sujet un double virtuel, voire le moyen de virtualiser les processus psychiques.