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Psychologues et hiérarchie : l’improbable équation
Qui devrait avoir autorité sur les psychologues au sein de la fonction publique ? Quelles formes de hiérarchie accepter ou refuser ? Si ces questions ont été soulevées il y a plusieurs décennies, elles continuent d’alimenter le débat sur la manière d’intégrer dans le monde de la santé ces acteurs non médicaux, mais qui participent aux soins. Retour historique et décryptage de ces enjeux administratifs et politiques.
Appel à la grève le jeudi 6 octobre 2016
La CGT-Santé et action sociale, la CGT fonction publique et la CGT-UFMICT appellent les psychologues des fonctions publiques (FPH, FPT et États), des secteurs conventionnés et du médico-social, à une grève nationale le jeudi 6 octobre 2016.
Crise de légitimité pour la notation et l’évaluation des psychologues
Les psychologues de la fonction publique territoriale (FPT) ont adopté une efficace stratégie pour s’émanciper de la forme de tutelle bureaucratique que constituent la notation et l’évaluation
Réflexion sur le recueil des données par questionnaire
0bserver est un art difficile. La psychologie, qui se veut plus qu’une science de l’observation, doit cependant passer par elle, et ses méthodes visent à déjouer les pièges et les illusions communes. Les erreurs liées à l’obtention des données viennent surtout de deux sources : la défaillance de l’observateur et la réaction de l’observé. Beaucoup de précautions ont été mises en place pour limiter, voire supprimer, le premier type d’erreur : délimitation et ciblage de l’objet à observer, passation standardisée, consignes strictes, description sans jugement et, in fine, enregistrements automatisés supprimant toute inattention.
Place et posture du psychologue : révéler la dimension sociale du travail
Si l’intervention du psychologue du travail se situe souvent entre la commande institutionnelle et la demande exprimée par les professionnels, quels sont les dispositifs qui lui permettent de les accompagner en développant les ressources investies par chacun ? Comment leur permettre d’accéder au travail réel malgré l’urgence des demandes pour aller mieux et la fragilité de celles-ci quand elles s’énoncent ? Comment redonner une dimension sociale au travail ? La présentation de ces trois situations cliniques nous en fait la démonstration.
Remettre en discussion le travail : méthodes et outils du psychologue du travail
Les méthodes en psychologie du travail proposent des pratiques et règles de métier au service de l’activité professionnelle et de la santé au travail. Les outils privilégiés sont ceux des subjectivités rencontrées sur les terrains d’intervention. Cet article présente quatre dispositifs de praticiens convergeant vers les mêmes finalités : contribuer à remettre en discussion le travail des professionnels, rendre visibles les soubassements de leur souffrance au travail et développer leur métier de façon satisfaisante à l’égard des contraintes professionnelles et institutionnelles.
Des concepts spécifiques éprouvés dans la pratique du psychologue du travail
Amener les professionnels à « dire sur le faire », à mettre des mots sur le travail réel si difficile à (s’)expliquer, apporter un étayage et un soutien clinique, relancer des dynamiques collectives là où régnait l’incompréhension… autant de situations qui nécessitent de la part du psychologue un constant travail d’ajustement des concepts, de sa méthodologie et de sa pratique. Illustration.
Enjeux du métier de psychologue du travail face à une commande sociale bruyante
Dans un contexte sociopolitique où une attention particulière est désormais portée sur la santé ou le bien-être au travail ou encore sur la gestion des risques psychosociaux, les psychologues du travail, praticiens en clinique du travail, ont à entendre et à accompagner cette nouvelle demande sociale, parfois difficile à décrypter. Restaurer les promesses d’un travail porteur de sens et de lien social, tel est l’enjeu qui se dessine ici.
De l’utilité de l’analyse groupale dans la réflexion sur les idéologies
Pour analyser l’idéologie, René Kaës propose une étude de tout son spectre et ainsi suggère une compréhension à deux niveaux. Le premier relève du cadre de référence choisi et privilégié, en l’occurrence ici celui de la psychanalyse groupale. Le second dépend des théories qui peuvent le nourrir, issues de la sociologie, de l’histoire, de l’économie ou de la politologie.
Intérêt des mesures objectives en psychologie
Le psychologue ne dispose pas d’épreuves précises en psychopathologie. Les tests d’aptitudes ou de « performances maximales » renseignent sur un déficit relatif à l’attention. Pour évaluer les troubles du comportement, il faut passer par le discours du sujet. Les questionnaires ou des épreuves telles que le Rorschach ou le tat s’appuient sur le langage. Mais cela traduit mal les troubles quand le sujet est jeune. D’où l’intérêt de recourir parfois aux nouvelles technologies numériques.