Dossier : journal des psychologues n°336
Auteur(s) : Thomas Caroline
Présentation
Les attentats de 2015 ont pris un sens particulier dans la subjectivité des personnes âgées, réactivant parfois d’anciens traumatismes ou rappelant la réalité de la mort. Ce qui n’a pas manqué d’engendrer beaucoup d’angoisse. C’est dans l’après‑coup que la mise en mots des affects a été possible, comme en témoignent ces résidents fortement impliqués dans les espaces offerts à l’expression de chacun.