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Considérant le processus de contact comme un enchaînement ordonné de schèmes de mouvements ayant chacun leur corrélat psychique, l’auteur expose un vocabulaire non verbal de six mouvements fondamentaux dont elle explicite les deux premiers : « se laisser aller avec » (être avec l’autre) et « pousser contre » (se séparer de l’autre tout en l’incluant). Un exemple clinique vient illustrer cette manière de travailler avec le mouvement corporel qui, simultanément, médiatise et révèle la dynamique relationnelle en jeu.
Sous l’impulsion de Frederick S. Perls, Paul Goodman et Ralph Hefferline, c’est en 1951 que les contours de la gestalt-thérapie commencent à se dessiner, présentant un tournant dans la théorie et la pratique de la psychothérapie. Ouvrant à un paradigme novateur – le contact –, elle implique un changement de méthode thérapeutique, basée alors sur la description du perçu et du ressenti de et dans l’expérience, ainsi qu’une transformation du rapport du thérapeute à son patient. Les auteurs proposent ici un survol des fondamentaux théoriques qui la caractérisent.