Dossier : journal des psychologues n°359
Auteur(s) : Robine Jean-Marie, Béja Vincent
Présentation
Sous l’impulsion de Frederick S. Perls, Paul Goodman et Ralph Hefferline, c’est en 1951 que les contours de la gestalt-thérapie commencent à se dessiner, présentant un tournant dans la théorie et la pratique de la psychothérapie. Ouvrant à un paradigme novateur – le contact –, elle implique un changement de méthode thérapeutique, basée alors sur la description du perçu et du ressenti de et dans l’expérience, ainsi qu’une transformation du rapport du thérapeute à son patient. Les auteurs proposent ici un survol des fondamentaux théoriques qui la caractérisent.