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Avec, entre autres, les contributions de S. Ionescu, A. Veyssière, V. Goussé, É. Bouteyre, P. Amoros, C. Pastor, M. Dubé, S. Lapierre, I. Varescon, O. Hjemdal, S. Schauder, V. Boucon.
Certains chercheurs en psychogériatrie étudient la possible relation entre les événements de la vie, les traumatismes et les démences. La résilience peut se définir comme le processus permettant de surmonter un événement traumatique. Qu’en est-il de la résilience chez la personne âgée et, par extension, peut-on la considérer comme un moyen de lutter contre l’apparition de démences ?
Lorsqu'on est frappé par un malheur, petit ou grand, c'est d'abord de sa famille, de ses proches, qu'on espère de l'aide. Mais, parce qu'il est lui-même très affecté par ce qui s'est produit, il arrive que l'entourage familial soit incapable d'apporter le soutien attendu. D'où, outre la difficulté de l'épreuve à traverser, une certaine fragilisation des lien. Comment faire pour que la famille, malgré les drames qui l'ébranlent parfois, puisse constituer cet environnement tutorant qui favorise le développement de la résilience individuelle? De quelle manière la qualité des attachements familiaux peut-elle être mise au service de la protection de chacun et de tous ? À l'inverse, à quel moment, et selon quels critères, est-il urgent de consulter un spécialiste et de le consulter tous ensemble ? Et si la famille était le lieu de résilience par excellence?