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Le handicap invisible… ou le décalage entre ce qui se voit et la réalité
Le handicap invisible plonge l’individu dans des incertitudes à la fois psychologiques, relationnelles et identitaires, en dehors d’une réalité partagée. Par un effort de définition et de mise en perspective des situations vécues, le travail psychologique vise une meilleure connaissance et cohérence de soi en lien avec les autres. Les cas de Julie et Franck témoignent ici de ce processus non linéaire de prise de conscience et d’intégration de leur réalité.
Lorsque les handicaps s’entremêlent…
Dans le contexte actuel où la prise en charge de chaque trouble est sectorisée, les équipes pluridisciplinaires qui œuvrent auprès des personnes présentant un handicap moteur, sensoriel, psychique et-ou cognitif, se retrouvent très fréquemment confrontées à des problématiques d’accompagnement complexes. Le travail du psychologue peut permettre d’apporter un éclairage sur cette question de l’entre-deux du handicap qui mène bien souvent à un entre-deux identitaire.
Un point sur la prise en charge des victimes en France
Le 21 mars 2016, Mme Juliette Méadel, secrétaire d’État à l’Aide aux victimes, a entrepris d’initier une série de tables rondes avec diverses associations et l’Inavem pour améliorer l’accompagnement des victimes tant au niveau juridique qu’au niveau psychologique.
Étouffement par management à l’université
Tout est calme, chacun vaque à ses occupations, cours, réunions de recherche ou d’enseignement, mails et Web, papiers administratifs à compléter pour obtenir du matériel, écriture d’un projet qui a peu de chance d’aboutir, rendez-vous avec un étudiant qui demande à remplir un formulaire, expertise d’un article sous quarante-huit heures.
Santé mentale : le silence des candidats à la présidentielle
En cette période électorale, quelle place est accordée aux questions de santé mentale dans le discours des politiques ? Ce sont ici les programmes des onze candidats qui sont passés au crible1. Par quel prisme le sujet est-il abordé ? Quels plans d’action les candidats ont-ils prévus ? Le constat est éloquent…
La place de la motivation dans la psychologie positive
Le mois dernier, nous avons consacré notre dossier à la psychologie positive, ce qui a permis de mettre en relief cette discipline de la psychologie apparue à la fin des années 1990. Cet article poursuit la démonstration à travers la présentation des théories motivationnelles et des liens que la motivation entretient avec la psychologie positive.
Du crime aux mœurs
Le parcours d’une personne incarcérée est jalonné par les étapes de la vie : si l’incarcération constitue un microsystème social particulier, elle n’est pas moins soumise aux lois de l’existence humaine. Dans cet article, à partir de deux cas individuels, l’auteur poursuit la réflexion, entamée dans le dossier du JDP de février 2016 consacré à la prison, sur le travail psychothérapeutique avec les personnes détenues. Il s’agit d’une tentative de mise en forme, participant d’une mise à distance, pour soutenir la pratique de la clinique dans le milieu carcéral, où la place de l’humain est mise à mal.
La mère, le fils et le petit objet
Accueillir un enfant pour un examen psychologique, c’est aussi être attentif à tous les paramètres qui entourent sa venue. Par qui est-il accompagné ? L’adulte souhaite-t-il la présence de l’enfant lors du recueil d’informations ? L’enfant exprime-t-il la volonté d’y assister ou comment s’occupe-t-il pour patienter en salle d’attente ? C’est dans cet entre-deux que s’observent souvent des détails qui auront du sens pour le suivi… Claire Meljac nous livre ici une observation sur l’utilisation du téléphone portable des mamans par leurs enfants.
Un dispositif intégratif de soins précoces pour enfants autistes en centre médico-psychologique
L’autisme pousse à envisager les pratiques dans un esprit intégratif, en articulant les connaissances issues de la psychologie clinique, des sciences neurocognitives, comportementales et des neurosciences. L’auteur, après s’être formée à la thérapie d’échange et de développement, a participé à la mise en place d’un dispositif de traitement ambulatoire pour de jeunes enfants autistes accueillis en centre médico-psychologique. Elle rend compte de cette expérience dans cet article.
Traduire ou ne pas traduire ? L’écriture plurilingue dans un CAMSP
Quelle est la place de la traduction, et surtout de la non-traduction, dans le cadre d’un atelier d’écriture plurilingue ? L’expérience de la « non-traduction » peut-elle être utile pour les parents de jeunes enfants présentant un handicap ? Les auteurs de cet article animent un atelier d’écriture plurilingue au sein du centre d’action médico-sociale précoce Salvator, à Marseille. Ils en examinent les visées thérapeutiques et les appuis théoriques, et analysent son action sur différentes façons « d’être dans la langue ».