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Dans la prochaine loi de santé, au vote début 2015, le psychologue n’existe plus ! Pourtant, tout est posé dans le premier article qui ouvre toutes les déclinaisons possibles des interventions des psychologues, quels que soient les champs, les modalités et temps d’intervention. Alors que se passe-t-il ?
Une relation étroite s’est nouée
entre Louis et Kenzi, deux
adolescents hospitalisés dans un
service de pédopsychiatrie. Cette
amitié singulière qui met à mal
le cadre institutionnel interroge,
par sa dynamique, la dimension
thérapeutique qu’elle pourrait
contenir.
Avec la reconnaissance du titre de psychothérapeute, certaines confusions ont
pu s’insinuer pour les patients et l’administration hospitalière. Faire reconnaître
la spécificité de ce qui est bien l’un des axes majeurs du travail de psychologue
hospitalier, à savoir le suivi psychothérapeutique, commence peut-être par expliciter
les spécificités de cet exercice, ainsi que l’intérêt pour certaines familles d’un travail
thérapeutique à l’hôpital plutôt qu’en ville.
Une maladie grave chez l’enfant affecte l’ensemble de la famille et l’inscrit dans une temporalité qu’elle détermine.
Vont être alors en interdépendance, le vécu, les mécanismes intrapsychiques de défense et d’adaptation et
les résistances de chacun de ses membres. C’est dans cette dynamique de fonctionnement individuelle et contextuelle
que va se situer l’intervention du psychologue.
Les motivations pour développer la bientraitance dans le monde du soin sont a priori légitimes et respectables : la bientraitance semble ne donner prise à aucune critique. C'est pourtant cet aspect trop consensuel et sans aspérité qui a suscité l'intérêt des auteurs de cet ouvrage pour ce néologisme aujourd'hui à la mode.
Ce livre se propose de présenter les enjeux éthiques et les conséquences pratiques que peut avoir la diffusion de cette notion ambiguë dans le monde du soin.
La question principale est alors de savoir si la bientraitance représente, comme on l'admet de manière quasi uniforme, une tentative louable de redonner du sens à l'activité soignante, ou si, a contrario, si elle n'est finalement qu'une manière, peut-être plus subtile, de poursuivre l'œuvre de rationalisation et de standardisation du soin.
Un coup d’arrêt, la violence du mot.
Au commencement était le verbe et c’est bien de cela qu’il s’agit le
plus souvent lorsque le diagnostic de cancer est énoncé. Cette maladie qui sourd
après parfois des mois d’existence en dehors de toute conscience de son hôte.
De longue date, les psychologues de la fonction publique hospitalière
(FPH) occupent, en France, une place singulière dans le
champ de la psychologie. Historiquement, l’hôpital s’est affirmé naturellement comme
l’un des premiers lieux d’inscription des psychologues.
Dans un contexte où l’idéologie du « tout économique » prévaut, la désorganisation
des collectifs qui en découle a inévitablement des conséquences délétères
sur les institutions de soins, mais aussi sur les soignés et les soignants. Aussi,
comment maintenir la continuité des soins ? Quelles propositions apporter pour
permettre l’élaboration des souff rances psychiques de ces enfants et adolescents ?
Asseoir la mise en place d’espaces groupaux incluant les familles ainsi que le groupe
institutionnel en est une.
Les consultations de psychologie du travail ont pour but d’amener le patient – dans le meilleur des cas – à trouver des solutions pour sortir des situations anxiogènes auxquelles il est confronté, en analysant sa situation de travail. Le suivi psychologique peut aussi être l’occasion de se reconstruire, de retrouver confiance en soi et d’améliorer l’image de soi.