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Psychologue hospitalière en début de carrière, l’article de Rémy Mervelet a particulièrement attiré mon attention *. Je partage son opinion, ses questionnements relatifs à la place du psychologue au sein du milieu hospitalier, ainsi que sa proposition de créer un doctorat d’exercice permettant justement de repenser, par la suite, cette place. Cependant, l’idée d’une modification du cursus de formation des psychologues me donne à réfléchir… À ce niveau, je ne partage pas ce même point de vue.
L’actuel gouvernement, sous l’égide du ministre Xavier Bertrand, a mis en discussion les modalités et le niveau de la formation des professionnels de la santé mentale (cf. Le Monde du 10 juillet 2005). Vous publiez, par ailleurs, dans votre numéro 229, un communiqué du SIUEERPP, s’inquiétant de la réduction de la place de la psychanalyse dans la formation des futurs praticiens.
Si la contention se veut protectrice sans être aliénante, comment cette mesure peut-elle être mise en place auprès de personnes âgées ? Comment est-elle perçue par celles et ceux qu’elle concerne ? élaborer une définition singulière de la contention médicalement prescrite aux personnes âgées permettrait sans doute d’envisager une culture de soins novatrice.