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Connaître la culture des personnes d’origine étrangère ne permet pas systématiquement aux professionnels qui les suivent de dépasser les incompréhensions et les malentendus aux prises dans la relation d’aide. Pour ce faire, une démarche réflexive est nécessaire, portant sur la culture de l’individu, son identité, les raisons qui l’ont motivé à quitter sa terre natale ou encore la nature de ses relations avec les autochtones.
La migration impacte et réorganise les relations familiales sur plusieurs générations. Elle est décrite comme un atout, mais malheureusement, le plus souvent, elle est aussi dénoncée comme un handicap. Une recherche récente, ayant donné naissance à un livre*, a permis de repérer six facteurs dans l’histoire de la migration des familles favorisant ou bien limitant le potentiel créatif de la double appartenance.
Les croyances qui ne se réduisent pas aux religions ne peuvent avoir de fonction chez les patients ou les soignants qu’en cas de besoin vital qui conditionne leur émergence. La prise en compte des croyances personnelles des patients dans la prise en charge thérapeutique se manifeste, dans ce texte, comme un levier permettant l’accès au noyau d’une souffrance universelle, en passant par le particulier. Réflexions autour de l’histoire de Mme T.
En s’appuyant sur des thèses darwiniennes ou néodarwiniennes, contournant certaines résistances idéologiques ou pseudo-scientifiques, il est possible de montrer de manière convaincante le lien entre racisme et sexisme, ainsi que le principe d’organisation des sociétés humaines.
Le concept de « double conscience », invoqué par André Demailly – à la source d’une culture authentiquement métissée –, indique une issue possible à la crise des rapports interethniques, interculturels ou intersexes.