Dossier : journal des psychologues n°350
Auteur(s) : Saraïs Marie-Eve
Présentation
L’accueil en service pédiatrique d’enfants de familles exilées amène souvent les psychologues à travailler en partenariat avec un traducteur. À partir d’une définition des notions d’exil et de langue maternelle, puis de l’analyse d’un cas clinique, on se questionne ici sur la manière dont le traducteur, lorsqu’il se met en situation d’interprète médiateur, permet à un enfant reçu en consultation psychothérapeutique d’habiter sa langue maternelle, et ainsi de favoriser le dispositif de soin.