Pour effectuer une recherche précise veuillez utiliser le moteur de recherche détaillé.
La Covid, une occasion d’épanouissement ou le paradoxe pandémique
Alors que, pour la majorité d’entre nous, le confinement fut une épreuve, les vignettes cliniques présentées ici mettent en lumière comment d’autres le vécurent, tout à leur insu, non comme une assignation à résidence, mais comme une solitude refuge à l’issue heureuse. Cette protection du dehors, de son influence, que le désormais déconfinement met à mal et qui pose un sentiment d’imposture à l’égard de ceux qui ont apprécié cette période de relation intense.
Aider psychologiquement les soignants dans la crise de la Covid-19
La propagation exponentielle du coronavirus a exposé les soignants à une situation intense et permanente de stress, avec de possibles répercussions anxiodépressives, voire de stress post-traumatique. Pour faire face à ces problématiques, l’auteure livre ses réflexions autour des dispositifs de soutien psychologique qui ont été déployés, notamment les plateformes d’écoute peu utilisées, soulevant l’importance pour les soignants d’un soutien collectif local comme facteur de protection, et celui du psychologue dans la relance d’un fonctionnement psychique et groupal.
L’impact du positionnement professionnel par suite du confinement et de l’après-confinement
La crise sanitaire a impacté tous les secteurs professionnels et, pour les psychologues, le confinement a nécessité d’importantes adaptations quant aux modalités d’intervention auprès de leurs patients. Ainsi, le cadre thérapeutique a été réinventé en fonction des limites induites par la distance physique, se traduisant par des entretiens téléphoniques ou par visioconsultation. Ces formes de suivi ont amené à penser différemment l’accompagnement et, avec le déconfinement désormais en vigueur, l’auteure, qui témoigne de son expérience auprès d’adolescents, s’interroge sur les nouvelles postures professionnelles à créer.
La notion d’autoattention
L’attention est une notion classique en psychologie.
Qui est la mère ? L’attaque de la « légitimité maternelle » et son impact transgénérationnel
Une différence affective trop importante vient entraver le besoin de différenciation de soi. Une telle position mettrait en échec toute tentative de fonction parentale. C’est autour de cette notion d’« enfant chronique » que s’articule la thérapie familiale exposée ici par l’auteure, où Evelyne, sa fille Pauline et la grand-mère ont pu libérer la parole et dénouer des liens familiaux et enjeux affectifs sous-jacents complexes.
Bis repetita ! Du bon parent ou la question du renoncement
Les grands-parents sont souvent ravis de garder leurs petits-enfants, source de contentement, d’autant qu’ainsi ils contribuent à leur éducation. De plus, pour leurs enfants devenus parents, ils représentent une « valeur sûre » en termes de sécurité, gratuité, souplesse et parfois de soutien dans leur réalisation personnelle. Mais la disponibilité dont fait montre le grand-parent peut s’avérer coûteuse du point de vue psychologique et recèle des processus complexes et ambivalents de culpabilité, de rationalisation, par exemple. Comment s’en préserver ?
Grand-parentalité et handicap : la réadaptation au service de la famille élargie
L’entrée dans l’âge de la grand parentalité peut s’accompagner d’un étiolement des aptitudes physiques tel qu’il faille reconsidérer les modalités d’intervention grand-parentale auprès des petits enfants. Un handicap visuel, augmentant avec l’âge, peut venir compromettre l’organisation familiale. La vignette clinique présentée, dans cet article, montre comment le grand-parent peut revendiquer et retrouver une place parmi les siens.
Grands-parents d’ailleurs et petits-enfants ici, la construction d’un lien
Être parent en situation de migration peut induire des choix éducatifs qui viennent en rupture avec la culture d’origine. L’histoire de Clara nous signifie comment , dans le contexte d’immigration, le statut de grand parent devient éclairant dans sa mission de gardien, de lien, de transmission de la mémoire familiale, et, en tant que tel, aide Clara à asseoir son identité.
Quand les grands-parents tombent malades : que vivent leurs petits-enfants ?
Délestés d’une responsabilité éducative parentale, les grands-parents entretiennent avec leurs petits-enfants des relations qui s’expriment davantage sur le versant de la complicité. Ces derniers, en retour, leur témoignent une bienveillance active et divers cas cliniques nous sont ici présentés en ce sens. Mais, lorsque la maladie et l’hospitalisation surviennent pour les grands-parents, dans quelle mesure les petits-enfants peuvent-ils continuer à manifester leur affection ? Ont-ils un rôle de soutien à occuper ?
Le blason en gérontologie : support à l’expression de compétences et de ressources
Parce qu’il souffre de troubles cognitifs majeurs, le grand-parent peut afficher un comportement inhabituel, dérangeant, voire agressif, et requérir une prise en charge psychologique. Dans ce contexte, comment réhabiliter son identité ? Le cas de Rose vient soutenir, par l’utilisation du blason, technique d’entretien systémique, comment un récit autobiographique peut rendre accessible l’émotionnel lié à la souffrance de la famille et la faire évoluer.