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Cet ouvrage situe l'examen psychologique dans le contexte des pratiques cliniques, et montre les nombreuses possibilités de travail offertes par l'intervention évaluative. Pour chacun de ces tests, ce manuel présente une série de grilles interprétatives issue d'approches théoriques différentes afin de mettre en évidence les caractéristiques spécifiques du sujet évalué ; suggère quelques techniques d'utilisation des résultats avec le sujet et avec des tiers. Il propose une approche méthodologique permettant la conceptualisation du cas clinique. L'ouvrage est organisé autour d'exposés théoriques synthétisant les principales connaissances actuelles relatives à ces quatre tests ; d'exposés pratiques résumant les étapes, les procédures et les critères d'interprétation ; d'études de cas détaillées illustrant tant ces aspects méthodologiques que différents tableaux cliniques ; Pratique de l'examen psychologique en clinique adulte est destiné aux psychologues cliniciens engagés dans une activité d'évaluation psychologique, aux étudiants en psychologie intéressés par cette thématique, et d'une manière générale aux professionnels qui souhaitent réfléchir sur la question de l'évaluation clinique et sur la gestion des données psychologiques qui s'en suivent.
En psychologie légale, le psychologue est amené à pratiquer, à la demande d’un tiers, des investigations sur un large public, ce qui rend l’examen psychologique peu homogène d’un praticien à un autre. L’homogénéité et la cohérence des pratiques de l’examen psychologique dans un tel contexte sont-elles possibles ? Et quelle est alors la tâche la plus urgente pour le psychologue légiste ?
La pratique de l’examen psychologique clinique est une donnée essentielle qui caractérise l’activité professionnelle des psychologues cliniciens, dans la mesure où le diagnostic psychologique aboutit à une recommandation
de traitement et à une indication thérapeutique adaptée. L’accent est mis ici sur les différents aspects qui conduisent le clinicien à réfléchir au plus près de la réalité du sujet.
L’histoire de l’orientation professionnelle puis scolaire, en France, a été scandée par différents épisodes. La pertinence de conserver le cadre
de l’examen psychologique pour les pratiques de conseil – compte tenu des connaissances actuelles dans ce domaine – reste aujourd’hui à interroger
Les évaluations intellectuelles « classiques », validées par la recherche et l’expérience clinique des praticiens sont-elles toujours suffisantes pour comprendre les comportements d’enfants présentant des troubles d’apprentissage et, plus généralement, des difficultés à penser ? De nouvelles approches sont aujourd’hui pertinentes au regard du travail du psychologue
La parution de la quatrième édition de l’échelle d’intelligence de Wechsler pour enfants (WISC-IV) est l’occasion de faire le point sur l’évolution de ces mesures classiques de l’intelligence. En plus d’un demi-siècle d’existence, comment les échelles de Wechsler se sont-elles transformées ? Quelle influence ont eue sur elles l’étude scientifique de l’intelligence et les nouveaux modèles de la cognition ?
Partant des fondements des échelles de Wechsler, il est possible de retracer leurs lentes métamorphoses et d’analyser leur impact sur les pratiques de l’évaluation.
Le rappel de l’évolution de l’examen psychologique de l’enfant au cours des dernières décennies est salutaire. Rappel qui incite à présenter les points positifs qui lui ont fait acquérir ses lettres de noblesse, ainsi que les points d’achoppement qui freinent encore aujourd’hui sa pratique maîtrisée.
Ce détour nous invite à une réflexion responsable sur la question.
L’actualité, avec un colloque international début octobre consacré à l’intelligence de l’enfant et les questions pressantes adressées aux psychologues, nous offre l’occasion d’appeler nos collègues, et tous ceux qui sont concernés par l’éducation et la santé de l’enfant, à réfléchir et débattre sur les usages du quotient intellectuel (QI) et certaines dérives actuelles.
Troubles des apprentissages, intelligence, culture, hyperactivité avec déficit attentionnel, personnalités pathologiques, effet Miranda, notion de crédibilité pénale, stress, coping, émotions et réactions… voilà quelques constats et quelques concepts qui, ces dernières années, éclairent ou compliquent la réflexion sur l’humain. Les modèles explicatifs évoluent, s’enrichissent et se complètent, et, ce faisant, ils transforment en retour les approches cliniques, psychopathologiques, différentielles ou psychosociales.