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Comment se construit et se nourrit l’image du corps ? Quel impact a-t-elle sur la structuration de la personnalité et sur sa relation à l’autre ? Prendre en compte la dimension corporelle dans la relation à l’autre et être au fait des différentes recherches, réflexions et théorisations qui s’y rapportent permettront au psychologue de mieux appréhender cette donnée que le sujet amène aussi dans l’entretien clinique. Le cas de Martin, un jeune garçon de onze ans, en témoigne.
Comme cela peut s’observer avec le psychodrame, le recours à la mise en scène offre
au travail groupal de nombreux leviers thérapeutiques. En témoigne le scénodrame
qui, par le biais d’un dispositif impliquant trois thérapeutes et des pièces de
construction à manipuler, permet l’accueil de jeunes enfants.
Avec I. Abramson, P. Barros, A. Bazan, M. Benyamin, P. Brient, M. Brouta, N. Brunel, E. Campi, X. Dan, M. Darmon, M.-L. Dimon, O. Douville, C. Gioja Brunerie, H. Hessel-Massat, C. Hoffmann, C. Kolko, J. Le Roy, W. Li, A. Malliart, M. Metboul…
Notre époque vit un rapport au temps singulier et paradoxal parfois, et les enfants,
comme ceux qui en ont la charge, n’y échappent pas et se doivent de composer avec.
Aussi que nous dit la clinique du temps chez l’enfant au regard de l’accélération
contemporaine des rythmes auxquels ils sont assujettis ? Entendre le discours de ces
enfants nous donne quelques clés de compréhension de leur entrée dans la temporalité,
de leur rapport à la mort ou encore de leur projection dans l’avenir…
À travers le cas de Solal, deux professionnelles, une psychologue et une éducatrice, rendent compte ici d’une pratique conjointe menée dans un Centre d’action médico‑sociale précoce spécialisé (CAMSPS). Elles assistent ensemble à l’accès d’un sujet autiste au lien social.
Lorsqu'un enfant est en danger dans sa famille, lorsque ses parents ne peuvent pas ou ne savent pas l'élever ou le protéger, lorsqu'ils le maltraitent, lorsqu'ils sont violents ou lorsque l'enfant a commis des actes de délinquance qui justifient une privation de liberté, l'État doit assurer son placement. Comment faire pour que le placement soit réussi ? Pour que la rupture ne soit pas un traumatisme supplémentaire ? Comment accueillir l'enfant, avec ses souvenirs douloureux, ses colères, sa violence, sa peur ? Comment préparer l'après-placement ?
Les auteurs analysent la politique des organismes chargés de la protection de l'enfance : la PJJ et l'Aide sociale à l'enfance. Ils présentent les réalités concrètes du placement, les modes de fonctionnement, les résultats, les innovations, les échecs, les difficultés, la vie au sein d'une famille d'accueil, d'un centre de milieu ouvert où s'effectuent des placements séquentiels, d'un centre de placement éducatif, ou d'un centre éducatif fermé. Le problème douloureux des «enfants incasables», la question complexe du retour de l'enfant dans sa famille et de son accompagnement sont également abordés. En contrepoint est proposée une ouverture sur le placement de l'enfant en Allemagne et au Royaume-Uni.
Les questions relatives à la constitution du lien parent-enfants, à l’élaboration de la filiation psychique, notamment dans les cas de garde partagée, et, plus largement, la notion de parentalité sont au centre de la pratique clinique de Pierre Lévy Soussan au sein de la consultation filiation qu’il dirige à Paris. Si le cadre juridique joue un rôle essentiel dans ces cas de figure, la loi de 2002 sur l’autorité parentale, en introduisant l’égalité de l’autorité parentale entre un père et une mère, peut être contestable dans ses effets selon l’auteur. Discussion autour de ces questions qui suscitent souvent plus de passion que de raison.